Paroles de Chansons : John Mamann - Et Alors...

J'rentre pas dans vos critères esthétiquement incorrect,
j'rentre pas dans vos affaires vestimentairement incorrect,
tant pis si je dépasse les normes,
le coeur chez moi est énorme,
tant pis si j'fracasse les bornes,
pour exister faut qu'on étonne.

Et alors qu'est-ce qui vous dérange,
et alors tant mieux si j'vous démange
pourquoi faudrait que je change.

J'rentre pas dans vos tiroirs catégoriquement incorrect,
je rentre pas dans vos histoires j'ai le caractère incorrect,
tant mieux si j'attire le regards,
bizarre, vous m'avez dit bizarre,
tant mieux si j'éclate les standards 
la vie est fade sans faire d'écarts

Et alors qu'est ce qui vous dérange,
et alors tant mieux si j'vous démange,
pourquoi faudrait qu'je change,
et alors....
et alors..... qu'est-ce qui vous dérange,
et alors tant mieux si j'vous démange,
et alors ...
et alors...qu'est -ce qui vous dérange,
et alors tant mieux si j'vous démange
pourquoi faudrait qu'je change ?
et alors

On se préserve de ce que la vie nous réserve,

On garde espoir pour ne pas subir le désespoir,

Mais quand le vide est profond et le moral noir,

Pas de doute, le brouillard persiste sur les rêves.

Tout se trouble, tout devient opaque et sombre,

Le souffle de vie se fait rare, se fait souffrance,

Rien n’éclaire cette lueur ultime pour la résistance,

Chaque jour nouveau construit peu à peu sa tombe.

Où est l’espoir, l’envie de croire

Que ce jour cessera d’être noir ???

LaPageNoire

Tout se chamboule,
Tout se bouscule, 
Tout semble flou,
Mais rien n’est sourd…

Le silence n’est plus depuis
Le vent souffle les bruits,
Puis les pensées s’excitent,
Mots imperceptibles dans le cri…

La raison expose de tous ses mots,
Mais l’autre cri de souvenirs aux maux,
Le ventre noué, frissons de peaux,
Retour dans l’angoisse, très bientôt…

Image figée, les heures qui déroulent,
Malgré les jours et nuits qui s’enroulent
Position fœtale, confort dans la boule,
Sur l’oreiller les larmes coulent…

Tout se chamboule,
Tout se bouscule, 
Tout semble flou,
Mais rien n’est sourd…

Le corps ne perçoit plus son sang,
Chaleur et fraicheur à contre sens,
Tremblements de crise sous-jacents,
Souffle saccadé, le corps se défend…

La raison ne sait plus et appelle à libération
Le cœur se concentre de toute sa passion,
Face aux cris, il ne doute pas de sa conviction,
Ouvrir la porte à l’espoir, ôter la soumission...

 Image figée, les heures ont passées,
De retour dans les draps mouillés,
Ouvrir les yeux, ne pas parler,
Simplement face au silence, écouter…

LaPageNoire